Depuis le temps que je l’attendais et surtout que ma maman souhaitait de plus en plus qu’il soit la (pour ne plus souffrir). Il est là. Tout a commencé dans la nuit du dimanche 15 au lundi 16 mars 2009, le matin très tôt, vers 6H30, maman est venue réveiller mon papa en lui disant que c’était pour aujourd’hui. Après avoir alerté papy et mamy GARNIER et le temps qu’ils arrivent d’Alès (1H30 plus tard), papa m’a réveillé tranquillement et a commencé à m’expliquer le déroulement de la journée. Que papy et mamy allaient arriver et qu’ils allaient s’occuper de moi puis qu’on irait voir mon petit frère dés qu’il serait sorti et enfin que je passerais quelques jours à Saint-Jean le temps que papa et maman se reposent et préparent au mieux l’arrivée de ce nouvel être. Je passe les détails de la mâtinée mais après 3 heures d’observation à la maternité, le travail n’avait pas vraiment commencé. Ils ont renvoyé mes parents à la maison. Ma maman, avec un peu de honte, a convié ses beaux-parents à rentrer chez eux puisque c’était une fausse alerte. Finalement papa est parti travailler le reste de la journée. Avec, lui aussi, un peu de honte du faux départ de mon petit frère et surtout que l’avant veille nous nous étions fait battre lors du tournoi des 6 nations par les anglais (une fessée de 34 à 10) car je vous rappelle qu’il bosse avec Philippa (une anglaise). Finalement la conversation s’est surtout portée sur le faux départ (tant mieux). Bref, c’est finalement en rentrant que papa a compris que c’était bien pour aujourd’hui. En effet maman avait souffert toute l’après-midi et donc le travail avait bien commencé. Et voila mon papa s’occupant de tout, comme d’habitude, mais là en plus, un peu plus. Il s’est occupé de moi tout en gardant un œil attentif sur maman. Avec la main droite me donnant à manger, avec l’autre main m’habillant et avec le pied droit (il ne maîtrise pas tout avec le pied gauche) téléphonant à papy et mamy GARNIER leur demandant de venir à nouveau sur Avignon. Finalement il m’a confié à Benjamin (mon voisin, merci encore) en attendant que papy et mamy arrivent (ils se sont très bien occupés de moi). Mes parents ont enfin pris la direction de la maternité vers 20H30.
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Je passe les détails, si vous voulez les connaître c’est sur le blog de mon frère : http://antongarnier.blogspot.com/ (Mon arivée sur terre), le lendemain je voulais voir mon petit frère. C’est en fait en début d’après-midi que j’ai pu enfin voir, après que ma maman ait enfin été transférée dans une chambre (la 110). Quelle fierté de voir pour la première fois mon petit-frère, un peu impressionné et aussi un peu apeuré lorsqu’il s’est mis a pleuré alors qu’il était dans mes bras mais nous allons apprendre à nous apprivoiser. Depuis vendredi où tout le monde est rentré à la maison après mon séjour à Saint Jean où j’ai fait plein de trucs, j’ai planté des petit-pois, des haricots, j’ai ramassé les œufs des poules et j’en passe je suis un peu survolté et pas très doux avec mon frère. Je suis brusque (mais ça, ça a toujours été) et je crie (mais ça, je fais comme papa qui nous fait croire qu’il sait chanter mais qui imite plus le brame du cerf en rut durant l’automne qu’effectivement Barry White ou Garou). Allez, nous allons nous apprendre les uns les autres et j’attends que mon petit frère grandisse un peu pour pouvoir jouer avec lui.
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Je passe les détails, si vous voulez les connaître c’est sur le blog de mon frère : http://antongarnier.blogspot.com/ (Mon arivée sur terre), le lendemain je voulais voir mon petit frère. C’est en fait en début d’après-midi que j’ai pu enfin voir, après que ma maman ait enfin été transférée dans une chambre (la 110). Quelle fierté de voir pour la première fois mon petit-frère, un peu impressionné et aussi un peu apeuré lorsqu’il s’est mis a pleuré alors qu’il était dans mes bras mais nous allons apprendre à nous apprivoiser. Depuis vendredi où tout le monde est rentré à la maison après mon séjour à Saint Jean où j’ai fait plein de trucs, j’ai planté des petit-pois, des haricots, j’ai ramassé les œufs des poules et j’en passe je suis un peu survolté et pas très doux avec mon frère. Je suis brusque (mais ça, ça a toujours été) et je crie (mais ça, je fais comme papa qui nous fait croire qu’il sait chanter mais qui imite plus le brame du cerf en rut durant l’automne qu’effectivement Barry White ou Garou). Allez, nous allons nous apprendre les uns les autres et j’attends que mon petit frère grandisse un peu pour pouvoir jouer avec lui.