21 novembre 2007

Par derrière (encore !). Lyon, Valence, grève... blague, gentleman.

Hier papa s'est fait rentré, encore une fois, dedans. En voiture bien entendu. Il commence à avoir l'habitude de cette situation mais là il y a eu de la nouveauté : La conductrice a refusé de remplir le constat amiable. D'ailleurs elle n'était pas amiable ou aimable du tout ni d'ailleurs le passager de la voiture qui après intimidation, prétextant que la voiture de papa n'avait rien du tout, invectives et autres injures on a même essayé la compassion en montrant l'état du véhicule percuteur. Bref le passager a fini par faire appeler la police par la conductrice. Le policier au bout du fil a dit à papa que si la conductrice ne voulait pas remplir le constat ce n'était pas grave et qu'il fallait le faire de notre coté en ayant au préalable noté le numéro de la plaque d'immatriculation et éventuellement si elle le voulait le numéro de téléphone de la conductrice. Ce qui fut dit, fut fait et papa ce matin dans le train qui l'emmenait vers Lyon ou il travaille toujours a rempli le constat.

Pour faire une blague à maman, papa a décidé de lui faire croire, ce soir, qu'il était bloqué, à cause des grèves qui paralysent la France en ce milieu de mois de novembre (à cause d'une réforme "inévitable" dixit Sarko ("Je dis ce que je fais, je fais ce que je dis") des régimes spéciaux des cheminots entre autres) sur Valence. Et c'est au moment ou il a rappelé après plusieurs échanges téléphoniques pour brouiller les pistes et faire croire qu'il était effectivement bloqué sur Valence qu'il a demandé à maman de venir le chercher sur Valence ou "de venir le retrouver à la porte" qu'il était en train d'ouvrir. Maman, dans un instant de stress extrême, ne comprenant pas qui pouvait rentrer dans la maison à ce moment là son mari étant à plusieurs dizaines de kilomètres de là, fut très surprise.
Bref tout est bien qui finit bien puisque papa a pu s'occuper de moi ce soir. Il m'a fait prendre le bain pendant que maman préparait le repas du soir. Plein de blagues papa mais il ne faut pas trop abuser du stress car le prochain coup si il est vraiment bloqué maman l'attendra quelques minutes plus tard à la porte où il ne sera pas...

Gentleman, en effet papa est un vrai gentleman car il a pensé à maman en lui achetant un petit morceau de fondant au chocolat (pour se faire pardonner peut-être...).

11 novembre 2007

Toussaint, Peaugres, Lyon, reprise, vaccin, gastro

Lors du week-end de la Toussaint mon papa a eu un jour de congés on est donc allé au safari de Peaugres le samedi 3 novembre. Plein d'animaux, loups, lions, tigres, et j'en passe. Pour ne pas partir trop tôt et éviter de faire plein de kilomètres nous sommes partis la veille et nous avons été hébergés chez Michelle à Lyon. J’ai pu ainsi rencontrer un nouveau copain : Maxence le petit fils de Michelle (le fils de Béatrice et Jérôme). Mercredi dernier j’ai eu droit à un vaccin, c’est papa qui m’a accompagné car maman a repris le travail (un mercredi cherchez l’erreur !) j’ai, bien entendu, hurlé tout ce que je pouvais chez la pédiatre. Jeudi soir au moment où mon papa est rentré d’une mission professionnelle sur Lyon (oui il fait depuis 1 semaine les allers-retours entre Avignon et Lyon tous les jours (1 heure de TGV)) j’ai vomi. Grand nettoyage : douche changement de draps, gigoteuse, alèze, etc. Merci papa et maman. Après avoir était calmé et reposé mes parents m’ont recouché. Erreur grave car quelques minutes après, pendant le repas de mes parents qu’ils prenaient sur le pouce bien entendu, j’ai à nouveau vomi ! Grand nettoyage : douche changement de draps, gigoteuse, alèze, doudou, etc. Merci papa et maman. Après avoir était calmé et reposé mes parents m’ont recouché. Erreur grave car quelques minutes j’ai à nouveau vomi ! Un petit vomitou cette fois mais changement de changement de draps, gigoteuse, dort bien, alèze, etc. Entre temps mon papa, pour rassurer ma maman, a appelé le 15 pour avoir un médecin et qu’il nous donne son avis sur la situation. C’est au moment du deuxième appel après le troisième vomi (j’espère que vous suivez) qu’il nous a conseillé d’appeler SOS Médecin. La doctoresse a finalement fini par arriver vers minuit. 82 euros plus tard et une ordonnance longue comme le bras accompagnée de la fameuse phrase : « On préfère ne pas bombarder les enfants d’antibiotiques dès le début des symptômes, on préfère attendre et voir vers quoi ça évolue » nous sommes enfin allés tous nous coucher dans le grand lit de mes parents où nous avons passé une nuit assez rock’n roll. En ce qui me concerne je me suis rattrapé dans la journée en faisant une grosse sieste puisque maman est restée à la maison pour me garder. C’est pour mon papa que ce fut plus dur car lui est reparti le lendemain en direction de Lyon pour sa fameuse « mission ». Donc moralité : c’était une espèce de gastro qui passe tranquillement ces derniers jours.